La génération Y et la mobilité
Chaque génération de salariés a des besoins très différents. Cette réflexion est également vraie pour leur rapport à la mobilité. Pour motiver ses salariés avec succès, il faut qu’une entreprise soit réactive et qu’elle comprenne ces préférences, en y adaptant ses programmes de mobilité internationale.

La génération Y
D’après de nombreuses enquêtes, la génération Y sera comblée par une entreprise qui peut leur faire vivre des expériences différentes et leur permettre de ‘changer leur espace’ s’ils le souhaitent.
D’ailleurs, ils représentent une génération davantage connectée avec ses pairs. Pour la génération Y, voyager plus est synonyme de plus de partage sur les réseaux sociaux. Ils comparent les pays où ils ont étés et sont compétitifs. Donc ils sont aussi plus ouverts à changer de lieu, même en peu de temps.
Est-il possible de généraliser?
Pour la génération X, une mobilité internationale est plus connectée à un avancement de carrière. Ils savent que s’ils acceptent de bouger, notamment dans un marché émergent à forte croissance, leurs possibilités d’obtenir plus de responsabilités augmenteront. Ils pourront aussi prouver leurs capacités.
La généralisation est toujours difficile. Les générations montrent très certainement des préférences diverses envers la mobilité, mais cela reste quelque chose de très individuel.
Par exemple, aujourd’hui les Baby-Boomers voyagent de plus en plus et deviennent progressivement plus curieux, en ayant davantage de temps libre. En revanche, la génération Y, toujours réputée flexible et prête à changer de vie, est quelquefois très attachée à son ‘petit monde’.
Comment agissent les entreprises ?
En raison de la difficulté d’établir une tendance claire, les entreprises n’ont pas vraiment adapté leurs programmes de rémunération pour la mobilité. En général, elles utilisent des indemnisations forfaitaires qui peuvent satisfaire chaque génération.
Par ailleurs, beaucoup de choses ont changé depuis la crise. L’heure est à la réduction des coûts de mobilité. Aujourd’hui, la plupart des expatriés acceptent une rétribution et des allocations adaptées au marché local.
Source: humanresourcesonline.net
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